Reçus avec le sourire, de la bonne humeur, une belle ambiance cabaret, des beaux costumes, de beaux décors...
Et ensuite on embraye sur la première partie, l'Appel de Cthulhu, un bon vieux classique. Partie mémorable je crois, avec un bon MJ, Kareen toujours aussi grandiose et des joueurs super sympathiques. Si on a pas beaucoup avancé dans l'intrigue, les personnages, eux, se sont beaucoup développés au fur et à mesure de la partie et on a eu droit à quelques remarques d'anthologie ("vous allez plus profond dans le navire - j'aime pas ce mot-là !" ou encore Kareen qui lâche devant le cadavre éparpillé d'un compagnon "je t'ai toujours dit que tu t'éparpillais trop").
Après une partie trop courte, on embraye sur la soirée. Repas au poil, copieux et délicieux, et on enchaine sur la soirée à thème cabaret. Entrée peu remarquée de notre chanteur de jazz, Loris Enzo. Très dommage parce qu'en dépit d'une sono merdique, il avait une très belle voix et chantait juste. La salle s'est réchauffée juste après avec l'entrée en scène des demoiselles mi-sticks. Humour, belles filles, chorégraphies travaillées, elles ont fait un sans faute et mis la salle dans tous ses états. Et Elise n'était pas la dernière à les acclamer ^_^
Après une nuit trop courte (foutus gens de la murder qui nous libèrent la salle à presque 5 plombes du mat') et un petit dej' offert, on embraye sur la partie du dimanche. Mousquetaires de l'Ombre, un jeu que je voulais essayer depuis longtemps. Et là, c'est le drame. Même si le MJ était bon, j'ai eu parfois l'impression d'être seul à la table d'un point d'un vue roleplay. Heureusement, les gens étaient quand même très sympa et la partie restera très bonne au final, ce qui est finalement l'essentiel.
Remise des lots (encore bravo à notre premier de Tibo, digne représentant de Ludipolis), discours de Mehdi, Chocho et JD (particulièrement émouvant, comme à son habitude), et on repart. Les heures de sommeil en moins se font sentir et la conduite au retour s'avère hasardeuse.
Mais finalement un excellent week-end que je ne regrette pas. J'ignore si je pourrais, mais si mon emploi du temps le permet, je resigne pour l'an prochain.
